Ce matin, à la radio :
Un reporter explique que les taulards (détenus) ont du mal à trouver du boulot.
Puis que certaines professions manquent de bras.
D'où l'initiative (louable) de je ne sais qui de rapprocher d'éventuels employeurs et les détenus en fin de peine qui cherchent du boulot.
Et, donc, un exemple : une boucherie embauche un détenu, boucher de profession, dès ça sortie. Tout le monde est content. Sauf que, perso, avant d'embaucher un boucher actuellement en prison, je me renseignerais un minimum sur le pourquoi il est en prison. Si jamais il a utilisé ses compétences professionnelles pour aboutir derrière les barreaux, j'hésiterais un peu ...
(j'ai un mauvais fond)
PS : dis donc l'hibernator, j'ai cru comprendre que par chez toi, la formation de boucher se faisait en milieu scolaire, avec abattage à l'arme à feu. Vachement moderne comme pays...
(j'ai un TRES mauvais fond)